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Pays de Ploërmel

Publié le 9 mai 2023

Guer. Inquiétude pour le lycée Brocéliande: les réponses de la région et du recteur

L’attractivité du lycée public de Ploërmel qui va ouvrir en septembre, inquiète les élèves du lycée de Guer qui manifestaient ce mardi matin contre une baisse de la dotation horaire et le non remplacement de professeurs. Le maire de Guer, Jean-Luc Bléher qui les a reçus leur a indiqué qu’il partageait cette inquiétude pour l’avenir du lycée Brocéliande, notamment en raison de la concurrence du lycée public de Ploërmel.

ce mardi après-midi, coïncidence, la vice-présidente de la région, Isabelle Pellerin et le recteur, Emmanuel Ethis, visitaient le lycée public de Ploërmel. Lors de la conférence de presse, nous les avons interrogés sur ces inquiétudes qui s’expriment du côté de Guer. Ils se sont montrés rassurants. S’ils conviennent que ce nouvel établissement bouscule les habitudes, ils affirment que l’avenir du lycée Brocéliande n’est pas en jeu, soulignant la complémentarité des formations que propose le nouveau lycée public de Ploërmel avec ses voisins.

Ecoutez leurs réponses dans notre vidéo:

6 commentaires "Guer. Inquiétude pour le lycée Brocéliande: les réponses de la région et du recteur"

  1. Merci pour votre question;
    La gêne des représentants de l’état et leur « langue de bois » réconciliera sans doute le citoyen et la politique.
    Chers jeunes de Guer, ne vous inquiétez pas, la croissance démographique du bassin de population, estimée comme exponentielle par le cabinet d’étude il y a 10 ans, finira bien par arriver un jour…….

  2. Rhô bah Riton ! On a des idées mais simplistes et expéditives. Lycée inutile pour l’un, fermé pour l’autre, travailleurs debout contre travailleurs assis. C’est peut-être un petit peu plus compliqué, non ? Et rien pour l’institution privée catholique ?
    Allez, élève Riton : Peut mieux faire !

  3. Non, sérieusement ! De l’argent public qui va dans un lycée public, c’est du gaspillage ?La parole libre et contradictoire est toujours là bienvenue en démocratie, mais pas pour dire des âneries… Comment appelez-vous alors de l’argent public qui va dans les trop nombreux lycées privés ? Et l’argent public qui va en destination des secteurs privés de l’économie sans qu’aucune contrepartie fiscale, sociale ou environnementale ne vienne contribuer à la solidarité nationale. Alors OUI aux écoles, aux hôpitaux publics, à la culture et aux services publics.

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