Publié le 8 octobre 2019
Malestroit. Manif devant la trésorerie: « une blague de potaches »
Version sans publicité
Soutenez notre média local et profitez d’une lecture sans interruption
Les élus des communes environnantes n’avaient pas le droit de venir manifester à Malestroit devant la Trésorerie en portant leur écharpe tricolore. C’est ce qu’ont affirmé ce mardi soir, le maire de Malestroit et les membres de l’exécutif lors du conseil municipal.
Interpellé par l’opposition sur son absence à cette manifestation, Bruno Gicquello a vivement « taclé » ses collègues élus qui sont venus défendre le maintien de la Trésorerie à Malestroit. Pour Christian Guillemot, cette manifestation n’est qu’une « blague de potaches ».
Le débat est pourtant parti d’un projet de motion de soutien que doit voter ce soir la municipalité.
Articles similaires
Malestroit. Pont du rock: l’armée des jeunes en pleine action
⭐ Version sans publicité Soutenez notre média local et profitez d’une lecture sans interruption Je…
Malestroit. La ville à l’heure du Pont du Rock
⭐ Version sans publicité Soutenez notre média local et profitez d’une lecture sans interruption Je…
Malestroit. Pont du Rock: contrat rempli pour les jeunes
⭐ Version sans publicité Soutenez notre média local et profitez d’une lecture sans interruption Je…
Malestroit. Collec’thon, Axcess Handisport et foot: ça marche!
⭐ Version sans publicité Soutenez notre média local et profitez d’une lecture sans interruption Je…
2 commentaires "Malestroit. Manif devant la trésorerie: « une blague de potaches »"
un blague de potache monsieur guillemot vous avez une belle façon de traiter vos collègues élues et c est vrai défendre des employés du fisc est utopique pour vous mon seigneur
« Les élus des communes environnantes n’avaient pas le droit de venir manifester » (sic). auraient rapporté M. le maire et son conseil exécutif. Décidément, cette valeur de « Droit et droits » échappe à notre édile et ses affidés. Le droit de manifester est reconnu constitutionnellement par l’article 10 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789. En revanche, co-organiser et financer même partiellement un pardon religieux en leur qualité d’élus républicains déroge au droit le plus élémentaire par sa forme juridique et légale (Loi de 1905). Dura Lex Sed Lex !