Ploërmel. Hôpital : la direction s’expliquera devant les élus communautaires

8 commentaires "Ploërmel. Hôpital : la direction s’expliquera devant les élus communautaires"

1. Survivance du passé les maires président les conseils de surveillance sans aucune qualification en matière de santé et s’étonne qu’un directeur dirige …. il est vrai qu’ils ont l’habitude de louvoyer.Sauf manquement aux procédures de la part du directeur il n’est pas nommé pour respecter les élus mais bien pour redresser une structure déficitaire à cause du laxisme de certains.

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2. Ne connaissant pas le domaine de la santé publique ,piètres gestionnaires des finances locales à Malestroit et ¨Ploermel(Josselin je ne sais pas) nos édiles feraient mieux d’être plus modestes au lieu de pousser des coups de gueules surtout médiatiques .

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   1. Un directeur même sortant de l’ENS devrait savoir qu’un hôpital ne vit pas en autarcie qu’il doit pour bien fonctionner ,s’intégrer dans son environnement , c’est à dire avoir des fournisseurs y compris locaux et si l’on demande à des élus de participer à des conseils fussent t’ils de surveillance ,il fait leur permettre de surveiller en les informant.
      Table rase et bouffon
      Les élus n’ont pas tous les droits mais les fonctionnaires non plus ils ne possèdent ni les uns ni les autres la vérité divine.
      Allez en paix!!!

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      1. Consulter les fournisseurs locaux(Vannes ce n’est pas local?) c’est une bonne manière d’autant plus si le code des marchés publics est suivi .Vu le nombre d’emplois(600 à 700 on n’est pas intégré dans notre environnement?) que représente un hôpital ou une clinique qu’un maire y soit attentif semble normal; de là à lui reconnaître des capacités en matière de santé publique et d’économie pour présider le conseil de surveillance voire le bloquer je doute et pense que ces problèmes ne devraient pas faire l’objet de publicité politicienne mais d’informations fiables.
         Rendez à César …

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         1. Cher Bouffon
            Vous m’avez l’air très au courant du dossier !
            Être intégré dans son environnement cad un rayon d’environ 20 Kms
            Cela veut dire partager , donner et recevoir cela ne limite pas au nombre de personnes que l’on emploie, mais pour le epartage il faut s’intéresser aux gens ,vivre avec eux, et pas seulement les comptabiliser comme patient ou comme employés .l’esprit de la sécurité sociale créée par le conseiller national de la résistance me semble très éloigné de ce qu’on apprend dans ces écoles de la santé qui nous produisent ces petits potentats locaux qui connaissent mieux la santé que les médecins eux même .
            Par ailleurs l’argent public est supposé être dépensé dans le cadre d’appel d’offre et même un établissement qui serait un groupement d’intérêt public doit s’y soumettre et il me paraît donc normal que des élus se soucient du respect de ces procédure de juste concurrence .les conseils de surveillance ,cher Bouffon , ont été créés par la loi , et même si ce n’est plus les conseils d’administration d’autrefois ,il faut au moins qu’ils puissent surveiller.
            À moins que toute remarque faite à un fonctionnaire de la santé soit considéré comme un crime de lèse majesté.
            À l’époque du dégagisme ,il faut que chacun reste à sa place ,c’est sa majesté
            Macron 1er qui l’a dit .
            N’est pas Cesar qui veut!
            Que la paix soit avec vous et surtout avec votre…..

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3. Le conseil national de la résistance!Sans manquer de respect à ceux qui tout en luttant ont su imaginer le monde d’après nous vivons une autre époque et invoquer le cnr me paraît digne de vielles badernes qui ont brillamment conduit à la défaite de 1940 en s’appuyant sur le passé de 14/18; faites de même avec notre système de santé (pour mieux le privatiser?)au vu de la parfaite connaissance des dossiers comme le président du conseil de Malestroit le démontre cela ne va pas tarder,malheureusement.

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   1. Cher Bouffon
      Reprenez vos cours d’histoire ,les membres du conseil national de la résistance n’avaient rien à voir avec la défaite de 1940 et encore moins avec 14/18. . Vous devez confondre avec un le maréchal .
      Par ailleurs c’est de Ploërmel dont nous parlons de Malestroit.
      Décidément vous mélangez tout , l’histoire et l’actualité locale .
      Et quelques fois certaines vieilles badernes pourraient en remontrer à quelques jeunes Pétris de leur certitude .
      Comme disait Brassens l’âge ne fait rien à l’affaire quand on est …
      On est …
      Je vous l’aise à vos méditations mon frère!

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4. Notre vielle baderne aurait dû mener une brillante carrière militaire: comme les généraux il ne se rend jamais,même à l’évidence!
   Heureusement les électeurs ont tranché.

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