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Faits divers

Publié le 15 septembre 2025

Molac. Le radar incendié pour la 4è fois en un an

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Le radar de Molac incendié pour la 4è fois

Le radar situé sur la RD 5 à la hauteur de Molac a de nouveau été incendié. Les faits remonteraient à la nuit de jeudi à vendredi dernier. C’est la 4è fois en un peu plus d’un an que ce radar est détruit par le feu. Il a été à chaque fois remplacé. Le dernier incendie remonte au début du mois de juin dernier, quelques jours seulement après qu’il ait été remplacé. Un nouvel appareil avait été mis en place à la mi-juillet. Cette fois, il est donc resté opérationnel près de deux mois. On pouvait penser que le relèvement de la limitation de vitesse à 90 km/h sur cet axe, annoncé le 27 juin dernier par le département du Morbihan avait calmé l’ardeur des anti-radars. Il n’en est donc rien. Il faut rappeler que ces radars sont des outils qui renforcent la sécurité routière, d’autant plus importants, alors que les chiffres des accidents de la route ne sont pas bons depuis le début de l’année. Et ces dégradations ont un coût financier important -de l’ordre de 100 000 euros- à la charge des contribuables.

3 commentaires "Molac. Le radar incendié pour la 4è fois en un an"

  1. Il faut rappeler que ces radars sont des outils qui renforcent la sécurité routière ?,
    Dans la pratique oui, du moins au tout début de l’apparition des radars, ça permettait à ceux qui n’ont pas l’œil collé sur le compteur d’avoir un rappel, c’était assez bien accepté à l’époque, puis il y a eu la généralisation des radars et l’effet n’était plus le même, c’est un rejet que beaucoup ont comparé à des tirelires, quand à la nouvelle génération de radars embarqués dans des voitures civiles, avec des sociétés privées à la tête, ça ne va pas arranger les choses. Pour ceux qui ont les moyens et en toute illégalité, leurs voitures sont équipées de détecteur nouvelle génération, pour les autres usagers il y a les applications style Waze, Coyotte qui permettent d’être averti, on appelle ça « vous entrez dans une zone de sécurité » , pour tous les autres c’est l’œil sur le compteur, autrement il faut mettre le limiteur ou le régulateur, mais c’est pas toujours le top !!! certaines routes ont parfois des vitesses qui passent de 90, 80, 70, 50 km/heure, il faut être à l’affût et le doigt sur le limiteur pour opérer les changements.

    Il existait d’autre solution : pourquoi le projet LAVIA n’a jamais vue le jour ?? (limiteur s’adaptant à la vitesse autorisée) est un projet français de recherche appliquée initié par la délégation à la sécurité et à la circulation routières (DSCR) du ministère des Transports en octobre 1999. Son objectif est de mettre au point un système d’aide à la conduite permettant au conducteur d’un véhicule automobile d’adapter sa vitesse en fonction de la vitesse limite autorisée grâce à un GPS embarqué qui contrôle cette vitesse et aux panneaux de signalisation du réseau routier répertoriés dans sa mémoire. Ce projet de limiteur de vitesse est mené par plusieurs établissements publics de recherche : le Laboratoire central des ponts et chaussées (LCPC), l’Institut national de recherche sur les transports et leur sécurité (INRETS), le Centre d’études techniques de l’Équipement (CETE) Méditerranée, et la direction régionale de l’Équipement Île-de-France (DREIF), auxquels sont associés les deux constructeurs automobiles français, Renault et PSA.
    Le limiteur de vitesse développé dans le cadre de ce projet propose trois utilisations différentes. Le mode « informatif » affiche sur le tableau de bord la vitesse à ne pas dépasser par le conducteur. Le mode « actif débrayable » empêche le véhicule de dépasser la vitesse maximale autorisée, mais peut être désactivé par le conducteur. Enfin, en mode « actif non débrayable », le limiteur s’impose au conducteur qui, pour le déconnecter de façon temporaire, doit utiliser le dispositif kick down (un appui fort sur l’accélérateur).
    Une expérimentation du LAVIA est menée de décembre 2004 à janvier 2006 auprès de conducteurs volontaires dans quelques communes des Yvelines dont Versailles, qui ont testé le dispositif pendant 6 semaines, les retours ont été positifs, un confort de conduite, plus à se concentrer sur le compteur, et la liberté de le mettre ou pas grâce au bouton (ON/OFF), entre (les pour ou les contre) ça reste le choix du conducteur, projet aujourd’hui tombé dans les oubliettes. C’était pourtant le moyen d’appliquer la réglementation facilement et de ne pas se faire piéger, la question est certainement pas de recette généré par les amendes pour l’état !!.
    Toutes les voitures neuves depuis 2006 auraient du en être équipées et sans supplément de coût, qui aurait pu être compensé par l’état au lieu d’investir dans des flottes de radars.
    Ne pas se méprendre l’exaspération est légitime mais la destruction en cramant des radars ne l’est pas.

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