Publié le 18 décembre 2024
OBC. Piscine de Malestroit : réflexion en cours sur sa gestion
La communauté de communes de l’OBC gère trois piscines sur son territoire : celles de Guer, La Gacilly et Malestroit. Elle a restitué à Sérent la gestion de sa piscine. Ces trois piscines ne sont pas gérées de la même façon. Deux d’entre elles -Guer et La Gacilly- le sont en régie directe, c’est à dire par des agents de la communauté de commune, tandis que celle de Malestroit est gérée en DSP (délégation de service public), c’est à dire que sa gestion est confiée à une société extérieure. L’avantage c’est que c’est cette dernière qui prend en charge, par exemple, le recrutement et la prise en charge des salarié(e)s et notamment dans le cas présent les maitres-nageurs. L’inconvénient, c’est que ça coûte cher à la collectivité : 400 000 euros par an.
Il y a donc une réflexion en cours au sein de l’OBC pour se demander si, finalement, ça ne serait pas plus économique que la gestion de cette piscine soit reprise par la communauté de communes. Le sujet a notamment été abordé lors de la dernière réunion de la commission famille. Une déléguée de la commune d’Augan explique qu’aucune décision n’a pu être prise, les avis étant partagés. La perspective de devoir gérer le recrutement de maîtres nageurs -qui est extrêmement difficile- constitue le principal sujet de craintes. « C’est le raisonnement inverse du centre des Landes… », s’étonne le maire d’Augan, Guénaël Launay.
Un sujet qui avait déjà fait débats lors de la précédente mandature…
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1 commentaire "OBC. Piscine de Malestroit : réflexion en cours sur sa gestion"
Tiens tiens, bizarre bizarre, ils s’aperçoivent maintenant que la DSP coûte plus cher qu’en régie. Quoi de plus normal, il faut bien que la société gérant la piscine vive et donc se rémunère, on connait un ancien délégué qui doit bien rire dans sa barbe , il a encore eu tort d’avoir eu raison !!
Par contre la DSP était cetainement appropriée pour la gestion des Landes de Monteneuf car la gestion était faite par une asso compétente et sans but lucratif. Alors laissons réfléchir nos « zélus » compétents.