Publié le 25 juillet 2023

Malestroit. Au Pont du rock: 10 bonnes raisons de ne pas rater l’édition 2023

Alors que les réservations continuent d’affluer le festival Au Pont du Rock, on est parti à la recherche des petits trésors que réserve cette édition 2023. Peut-être hésitez-vous encore à faire le grand saut et à réserver vos places? Alors avec la complicité de Maïwenn Colléaux, chargée des relations presse, on vous a déniché 10 bonnes raisons de ne pas rater cette édition qui s’annonce hors normes…

D’ailleurs, pour voir la programmation, les horaires de passage et… réserver vos places, c’est par ici

Un coup d’oeil en coulisses…

Louis Bertignac

Le Pont du Rock est l’un des seuls festivals bretons auquel participe Louis Bertignac. C’est déjà une bonne raison de sauter sur l’occasion de venir l’écouter. Mais il se murmure qu’il pourrait aussi réserver quelques bonnes surprises aux fans du groupe Téléphone…

Shame

C’est la seule date en France de ce groupe post-punk dont le rock à l’anglaise illumine toutes les scènes européennes. Et surtout c’est un groupe qui est dans la pure tradition originelle du Pont du Rock. « C’est un peu l’ADN du Pont du Rock », souligne Maïwenn.

Nova twins

Un peu comme le précédent, on est dans l’ADN du Pont du rock avec ce groupe, deux fois nominé groupe de l’année et meilleur groupe de rock aux Brit Awards 2023. Présent aux Vieilles Charrues le week-end dernier il met le feu partout où il se produit.

Meute

Ce groupe n’est pas rare, mais sa présence à Malestroit est un véritable évènement. Car cette fanfare allemande ultra festive soulève les foules.

Des innovations pour faciliter l’accès

-De la place pour stationner. Stationner et circuler pour se rendre à un festival, c’est toujours un peu la galère. « On est pas dans le gigantisme. On a une jauge de 20 000 places par soir et on a l’obligation de proposer une place à chaque véhicule. Nos parkings sont surdimensionnés et on des équipes dédiés pour gérer le flux des véhicules… », affirme les organisateurs.

-Une ligne de bus spéciale et un parking vélo. Ca c’est nouveau et ça peut ouvrir des horizons pour les festivaliers. La région ouvre des lignes Breizh Go dédiés, au départ de Vannes qui déposeront les voyageurs sur le parking du collège Yves Coppens, c’est à dire à la porte du festival au tarif exceptionnel de… 2 euros! Et autre nouveauté en terme de mobilité, un parking spécial vélo est également à la disposition des petits malins qui choisiraient ce mode de transport. Et lui aussi se trouve à la porte du festival, sur le parking du collège. Vous savez ce qu’il vous reste à faire!

mais le Pont du Rock c’est aussi…

-Un festival vraiment intergénérationnel qui revendique que sur la prairie de 7 à 77 ans, tout le monde chante et danse à tue-tête. « Que celles et ceux qui s’interroge sur le fait de venir avec ses enfants ne se posent plus de questions. Accueillir les familles entières on sait faire. En général, les gens viennent avec les casque ou les bouchons anti-bruit qui s’imposent pour les jeunes oreilles. Au pire en cas d’oubli, on en a quelques uns a prêter », s’amusent les organisateurs. Une grande partie de leurs réservations concernent d’ailleurs des familles et des enfants de 11-12 ans.

-De la bonne bière! A consommer évidemment avec modération. Mais le Pont du rock est fier de son partenariat avec le brasseur Lancelot -« c’est l’identité du territoire »- et assume de servir une bière certes un peu plus chère -c’est pas plus mal pour éviter les excès- mais vraiment artisanale et de qualité.

-Des frites maison. C’est une des nouveautés de cette édition 2023: le Pont du Rock externalise sa restauration qui était jusqu’alors faite en interne. Les festivaliers pourront déguster les menus proposés par le Homard frites de Vannes. Promis, il y aura des frites maison et une variété de menus différente des autres années. On trouvera des ribbs, tartiflettes et autres chicken rolls. Miam, miam!

-Un mojitos hyper local. Toujours dans la catégorie des gourmandises à déguster avec une extrème modération, il y a ce mojitos du terroir préparé avec de la menthe cultivée en Bretagne, du chouchène à la place du rhum. Mais il y a une histoire humaine derrière ce breuvage très tendance car il est proposé par Le Maestro, une entreprise créée par deux jeunes originaires de La Gacilly qui ont fréquenté le Pont du Rock quand ils avaient 16 ans. Leur entreprise fait désormais partie des mécènes du festival!