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Publié le 18 mars 2020

Coronavirus. Deux cas de plus ce mercredi soir dans le Morbihan

Voici le point de situation sanitaire en Bretagne dressé ce mercredi 18 mars à 17h30 par la préfecture de Région et l’ARS qui montre une forte augmentation du nombre de décès en Bretagne en 48 heures. Il n’était pas précisé dans le bilan de mardi soir, mais il était de 3 lundi soir et passe à 7 ce mercredi soir.

« A 17h30, ce 18 mars, le nombre de cas de Coronavirus Covid-19 confirmés en Bretagne est désormais de 252 :

134 dans le Morbihan (contre 132 mardi)
55 en Ille-et-Vilaine
51 dans le Finistère
12 dans les Côtes d’Armor.
L’Agence régionale de santé, en lien avec Santé publique France, assure le suivi de tous les patients hospitalisés Covid-19 ainsi que les admissions aux urgences liées au coronavirus. Ainsi, actuellement, 25 patients sont hospitalisés en services de réanimation, 39 en hospitalisation conventionnelle et 6 sont en soins de suite et réadaptation. Trois patients sont pris en charge aux services d’urgences. Les autres patients sont pris en charge à domicile.

Depuis le début de l’épidémie, 7 décès sont à déplorer en Bretagne. »

 

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10 commentaires "Coronavirus. Deux cas de plus ce mercredi soir dans le Morbihan"

  1. Quand on voit le peu de nouveaux cas chez nous on peut trouver les mesures un peu drastique. Vannes a pris l’initiative de fermer ses marchés alors qu’il n’y a clairement pas d’alerte ici…

    1. Soyez rassurée chère Madame …..la connerie ne tue pas …..pour l’instant, mais quand je vous lis, on peut être certain que ça ne va pas tarder. Allez donc faire un tour dans les services de réanimation à Vannes, allez suivre les infirmiers et infirmières à domicile une journée seulement car vous n’aurez sans doute pas le courage d’en faire plus.
      Proposez vos services dans les services de com de la Préfecture, ils ont besoin de gens comme vous, Madame LAMENTABLE….

    2. Pas d’alerte? Le peu de cas? Êtes-vous sûre de vivre dans la même région que nous? Voire dans le même monde? Je suis infirmière libérale , confrontée en première ligne à la maladie et quand je lis votre avis, j’hésite entre la colère, la tristesse ou le dégoût. Je me protège, protège mes patients , et ma famille.
      Croyez-moi je préférerais largement rester chez moi en confinement plutôt que d’être exposée ainsi… si vous voulez vous aussi rencontrer ces « peu de cas » et alertes inexistantes , je vous invite à venir une journée avec moi et vous comprendrez peut-être (enfin!) La nécessité de ces mesures qui vous paraissent Si drastiques alors qu’elles sont justes vitales. Petit conseil : prévoyez vos masques et vos baskets, la journée va être longue…

    3. Madame,
      Vous n’avez rien compris. C’est parce que le confinement se met en place sur tout le territoire que les courbes vont diminuer petit à petit.
      Par ailleurs 134 cas, juste pour le Morbihan, en sachant que beaucoup de cas nécessitent une place en service réanimation, c’est énorme, quand on voit le matériel qu’il faut pour une place en réanimation.

    4. – Soyez rassurée chère Madame …..la connerie ne tue pas …..
      – Êtes-vous sûre de vivre dans la même région que nous? Voire dans le même monde?
      – Vous n’aurez sans doute pas le courage d’en faire plus … (sous entendu : que nous ???)
      – Venir une journée avec moi et vous comprendrez peut-être (enfin!)

      Je regrette que les média entretiennent la psychose et le stress en diffusant en boucle le « Coronavirus » avec de l’information sans grand intérêt sur le vrai sujet.
      Mais c’est ainsi.
      Je regrette de même que d’une façon générale des professionnels de la santé surement pris par le quotidien de leurs métiers, se soient autant distanciés de la population.
      Mais c’est ainsi.
      C’est ce montre les 2 commentateurs de Rosa auxquels je m’adresse ici.
      Puisque leurs commentaires sont là, je réagis.
      C’est aussi ainsi.

      « Ineptie » et « Infirmière en colère », à mon sens rien ne vous autorise à insulter quelqu’un dans un fil de discussion qui exprime à sa manière le doute et l’interrogation de millions de concitoyens.

      Vous traduisez par vos écrits exactement la réalité du non recevoir que les citoyens adultes et responsables ont aujourd’hui lorsqu’ils s’adressent à « l’hôpital ».
      La réponse générale est « Monsieur / Madame je vous arrête là : Bla Bla Bla Coronavirus » Coronavirus et tout est dit.

      Dès que surpris, interloqué et/ou outré, vous répondez « holà » vous vous prenez en pleine figure « Je ne suis pas là pour entendre des inepties ».
      Ce comportement est insultant.
      Je suis désolé pour vous. Mais si personne, je dis ici les gouvernants successifs, ne vous a écouté et que aucun des syndicats multiples et foison de vos secteurs de métiers ne vous ont défendus alors il vous reste un geste simple.
      C’est celui de déposer le sac à l’instar de notre dernière fugace ministre de la santé.

      Avant de traiter Rosa de conne, vous nous excuserez, nous, non professionnels de santé, que nous puissions comprendre cette démission comme autant d’un signal fort aux concitoyens de la non gravité de la crise.

      Mais jamais
      Surtout jamais, au grand jamais n’insultez un citoyen.
      Non jamais cela vous ne devez faire.

      Expliquez lui comment c’est la misère dans vos professions et vos établissements publiques.
      Ré-expliquez lui comment la santé publique a été abandonnée aux marchés de la santé privée .
      Cela vous pouvez le faire.

      Mais jamais vous ne lui dites que c’est une conne ou un con.

      Si vous n’avez pas de masques, de gants, s’il manque du monde, des lits, si vous êtes crevé(e)s, au bout, à bout, exsangue alors adressez vous à l’ARS, aux ministère, à l’état, ou alors …
      Alors passez outre !
      Fini l’omerta !
      Fini la grande muette de ceux qui savent mais disent rien.
      Faites nous clairement savoir ce qui se passe et de qui vient la faute plutôt que de recevoir comme un chien le citoyen déjà abandonné à son sort.

      Enfin professionnels de santé, s’il vous plait sortez de votre bulle, levez la tête de votre guidon et admettez que Rosa, comme moi ou tout un chacun qui n’est pas au fait de toutes les difficultés au quotidien des hôpitaux public puissent observer de leurs cotés des fortes dissonances et incohérences dans le pourquoi du comment les décisions et les annonces faites par la puissance publique et que de ce fait puissent l’exprimer chacun à sa manière avec sa sensibilité propre et ses mots.

      Ainsi dans cette veine de la cacophonie qui règne et juste pour l’exemple, relisons la communication journalière de l’ARS Bretagne pour le 18 mars :
      « A 17h30, ce 18 mars, le nombre de cas de Coronavirus Covid-19 confirmés en Bretagne depuis le 28 février est désormais de 252 :
      • 134 dans le Morbihan
      • 55 en Ille-et-Vilaine
      • 51 dans le Finistère
      • 12 dans les Côtes d’Armor.
      L’Agence régionale de santé, en lien avec Santé publique France, assure le suivi de tous les patients hospitalisés Covid-19 ainsi que les admissions aux urgences liées au coronavirus.
      Ainsi, actuellement, 25 patients sont hospitalisés en services de réanimation, 39 en hospitalisation conventionnelle et 6 sont en soins de suite et réadaptation. Trois patients sont pris en charge aux services d’urgences. Les autres patients sont pris en charge à domicile.
      Depuis le début de l’épidémie, 7 décès sont à déplorer en Bretagne.  »

      SIC : « Ainsi, actuellement, 25 patients sont hospitalisés en services de réanimation, 39 en hospitalisation conventionnelle »
      Excusez moi commentateurs de Rosa, mais si 25 patients « Coronavirus » en réa et 39 en chambre au 18 mars et ce pour toute la Bretagne explose la capacité d’accueil de l’hôpital en Bretagne et vaut vos commentaires, il y a là vraiment une source d’interrogation.
      Ce n’est pas notre faute à Rosa ou la mienne si ceci ne reflète pas la réalité.
      Voyez cela avec vos responsables pour rectifier l’information.
      Ou alors, passez outre et dites nous ce qui ce passe vraiment dans vos établissements.
      Informez nous.
      Mais ne nous insultez pas.
      Ne nous insultez pas parce que c’est vous même que vous insultez.

      Nous ne sommes pas des cons, l’information nous savons aussi la chercher et la trouver.

      Ceci dit.
      Merci pour tout, reste et ce à venir
      Netcordi@lement

  2. Madame ,
    Vous , n’avez rien compris , tenez des propos responsables ! Vous connaissez la situation ? Nos enfants , mes enfants sont en première ligne . Respections les consignes sanitaires , ce n’est pas une  » gripette  »
    Infirmière en colère , nous , je comprends vos propos ….

  3. J’entends vos commentaires , mais je pense que pour mieux se protéger , les responsables politiques et médicaux devraient developper beaucoup plus des arguments et des moyens pour que chaque citoyen puisse Augmenter ses propres Défenses Imminutaires.

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