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Publié le 6 juin 2015

Ploërmel. Lycée public : choix du terrain : les révélations de Béatrice Le Marre

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Le projet de construction d’un Lycée public serait-il anéanti par le choix du terrain pour son implantation? C’est ce que pense Béatrice Le Marre, ex-maire de Ploërmel, conseillère régionale et farouche partisane du projet. Elle s’en est expliquée, ce samedi matin devant les centaines de personnes qui s’étaient rassemblées sur le place de la mairie pour défendre ce projet.

Elle tire cette conclusion de la lecture du bordereau concernant cette question qui sera débattue mercredi lors de la réunion du conseil communautaire de Ploërmel qu’elle a reçu vendredi en sa qualité d’élue. Selon elle, alors que Patrick Le Diffon maire de Ploërmel et président de la communauté de communes affirme que le choix porte sur six terrains, ce bordereau ne porte que sur un seul terrain.

Un terrain dont la situation pourrait convenir, concède Béatrice Le Marre, mais qui demande tant de démarches administratives qu’il ne pas utilisable avant plusieurs années et coûterait quatre fois plus cher que le terrain initialement pressenti pour construire ce lycée public.

VIDEO. Choix du terrain : les révélations de Béatrice Le Marre

18 commentaires "Ploërmel. Lycée public : choix du terrain : les révélations de Béatrice Le Marre"

  1. Nos élus sont de formidables gestionnaires. Ils ont un terrain (ronsouze) qui est le moins cher, qui appartient à la commune, qui est viabilisé, avec les infrastructures sportives existantes et ils vont choisir un terrain (Rehumpol) qui n’est pas dans le PLU donc pas constructible, qui devra faire l’objet d’une enquête d’utilité publique et qui coûtera 4 fois plus cher. Pour qui prend-t-on les ploermelais ? Pour des veaux !
    Alors trois raisons
    1) Mr le Diffon a toujours menti et il ne veut pas de ce lycée public. Il propose ce terrain car il sait que cela prendre quelques années avant qu’il devienne constructible, s’il le devient. Et donc il est soumis ou d’accord avec les lycées privés.
    2) Il obéît à une côterie qui veut son terrain de foot synthétique sur le terrain de ronsouze.
    3) il est pour un lycée public mais il est incapable d’asseoir son autorité.
    Pauvre ville de Ploërmel, on n’a pas fini de se moquer d’elle !

    1. C’est sûr que madame LeMarre et vous-même avez des leçons de gestion à donner à tout le monde……………Laissez nous rire .
      Vous êtes sans doute des incompris c’est pour cette raison que les urnes vous ont sanctionnés de manière si cinglante l’an dernier!!! Notez que vos soutiens d’extrème gauche d’hier n’ont pas connu un meilleur sort!!!! Qui se ressemble …..

      1. Tremblez ! Belphégor Mabonso a parlé. Malleus maleficarum…
        Comment pouvez-vous justifier le choix d’un terrain non viabilisé à 4 millions d’E contre un terrain communal à 700 000 ? Bon chrétien mais mauvaise foi !
        Savez-vous par ailleurs combien coute les établissements catholiques ploërmelais aux deniers publics locaux (Subventions OGEC), régionaux (Frais de fonctionnement) et nationaux (Salaires des enseignants) ? Qui a financé l’amphithéâtre du lycée privé catholique Lamennais que par ailleurs il « sous-loue » à la municipalité dans le cadre des programmes culturels de l’année 2014-2015 ?
        Pax vobiscum

        1. Vous semblez avoir une certaine aigreur envers l’enseignement privé catholique confessionnel (comme vous dites). Ca semble vous mettre sur les nerfs,vous en avez sans doute trop parlé ce w-e avec vos camarades morbihannais. Que ça vous plaise ou non Mme Kervadec par exemple a fait moins de 5% des voix aux derniers scrutins et vos thèses laïcardes n’ont aucun écho dans la population.
          Quant au terrain, vous craigniez de ne pas en avoir mais quand on vous en propose un vous semblez moins enthousiastes. Peut-être vous êtes vous enfin rendu à l’évidence: 2 lycées publics GT à 22 km l’un de l’autre dans le bassin de Ploërmel, ce serait un de trop. Si c’est le cas, je vous félicite pour votre ouverture d’esprit mais j’avoue avoir un doute.

          1. M.Mabonso,
            Mes années d’enseignement m’ont appris à faire œuvre de pédagogie et me montrer accessible même aux réflexions les moins vives. Comment faut-il vous dire (Et je vous l’ai déjà expliqué mais vous n’écoutez pas !) que l’existence d’établissements confessionnels catholiques sur le territoire ne gène absolument personne. C’est en revanche l’absence d’un établissement public, laïc et républicain et le fait qu’un projet le concernant puisse être contesté par des esprits rétrogrades qui est une anomalie. Prenons un exemple de géométrie (Votre esprit très « carré » s’y prêtera mieux) La ville centre de notre cercle territoire est Ploërmel, il est normal pour des raisons d’équité d’accès d’y trouver les services les plus importants favorisant l’égal distance entre tous les points du territoire. Or Josselin qui est sur la tangente Ouest de ce cercle est à l’extrême opposé de la tangente Est où se trouve (Par erreur politique d’une majorité politique ploërmelaise d’un temps jadis) le lycée de Brocéliande. Le recentrage s’avère une opération d’aménagement qui concoure à plus d’équité territoriale, d’égalité d’accès et de laïcité. Si vos ami, vos pères, vos pairs de la droite cléricale ploërmelaise des années 60 avaient accepté le projet nous n’en serions pas là.
            Nunc est bibendum

    2. vous avez oubliez:
      4) M Le Diffon a discuté avec un des membres du groupe droite et centre de la région qui l’a convaincu. Rappelez vous le discours de M Dufeigneux opposé à ce projet . Il précisait entre autre que dépenser 25 millions dans un bassin où les lycées existants ont des places vacantes n’est pas admissible…..ça se tient non.

      1. Coucou Monsieur Mabonso, on se retrouve ici aussi.
        Je pense qu’au niveau gestion on pourra faire les comptes à la fin de la mandature de Le Diffon. Quasiment pas d’investissement et une ville endormie, voilà ce qui nous attends. Lorsque Mme Le Marre est arrivé à Ploërmel elle s’est évertué à rembourser au plus vite des dettes prises par Mr Le Diffon et son maire, et notamment ce superbe emprunt toxique qui lui revient comme un boomerang, à réussir à mutualiser des services (c’est un gros mot je vous le concède), rénover un hôtel de ville (bien sûr pour les arpagons c’était pas nécessaire en fait rien n’est nécessaire lorsqu’il s’agit d’améliorer le service public), et oh sacrilège, rénover les écoles publiques.
        Quant à M Dufeigneux, ce n’est pas parce quel’on est de droite que l’on a toujours raison. Continuer à entasser des gens dans le bassin rennais pour continuer ici à vivoter.Refuser un service public, mais je crois je vous l’ai dit ailleurs mais il est bon de le répéter, c’est affaiblir les autres (hôpital, gendarmerie) et donc faire régresser la ville. Les gens vont vers des villes où les services public sont le plus présents
        On fait dire aux urnes des choses qu’elles ne disent pas. J’en ai d’autres si vous voulez.
        2 ploermelais sur 3 sont pour un lycée public (ce n’est pas moi qui le dit mais ouest France à travers un sondage), et sûrement davantage sur le territoire. Mr Le Diffon a su manier sa barque, reconnaissons lui ce talent. Il a fait croire à ceux qui était pour qu’il ne s’opposerait pas au lycée et le contraire aux opposants. Il n’a pas pris position publiquement pour ou contre lors de la campagne électorale.
        France-Belgique : 3-4 (dommage)

      2. Des places vacantes en terminale L pour un Bac pro ASSP ? Ca se tient ?
        Des places vacantes en STMG pour des 1ères S ? Ca se tient ?
        Des places vacantes en Bac pro électrotechnique pour des terminales ES ? Ca se tient ?
        Ramassis d’inepties ? OUI, CA SE TIENT ! Vaut mieux entendre ça que d’être sourd !
        Et vos propositions pour le déficit de la sécurité sociale ? Ca doit être gratiné ça aussi !

        1. M chevrier vous auriez du être prof, même un esprit lent comme le mien a tout compris: Vous voulez mettre le lycée de Brocéliande sur roulette pour le recentrer.
          Ou alors après avoir militer pour la construction d’un lycée public à Ploërmel et obtenu sa construction, vous ferez de même à Josselin par équité: pourquoi en effet défavoriser Josselin par rapport à Guer.
          M Laufont fera un sondage dont il a le secret et on aura bien développé le pays de Ploërmel. On aura ainsi une croissance exponentielle de la population qui nous permettra de construire un 4ème lycée à Mauron.
          Pour avoir du crédit à vos yeux, il faut dépenser à tout va. Ouvrez les vannes et vous serez de bons élus comme votre amie et conseillère régionale adepte des inaugurations et des embauches. Investissement rime bien avec frais de fonctionnement non?
          Présentez vous au prix Nobel d’économie, vous avez des chances.

          Ps: mon esprit n’a pas bien suivi l’histoire des places vacantes, désolé.

          1. Mabonso (un pseudo ?) a un peu de mal à ENTENDRE… pourtant en lisant on a toutes les informations (à moins que ce soit volontaire et donc dénigrant… je n’ose penser cela) :
            – Mabonso a écrit : « M chevrier vous auriez du être prof »
            – M. Chevrier a écrit : « M.Mabonso, Mes années d’enseignement m’ont appris à faire œuvre de pédagogie… »
            – M.Chevrier a aussi écrit : « Comment faut-il vous dire (Et je vous l’ai déjà expliqué mais vous n’écoutez pas !) »…

            Alors en effet c’est bien dommage de mettre tant d’énergie pour expliquer, argumenter sur les divers sujets que comportent ces commentaires. Dans la communication, il faut un émetteur, mais aussi un récepteur qui soit prêt à recevoir le message…

            J’aime bien l’explication des places vacantes… si réaliste !

          2. Le sondage est cité dans l’article de Ouest France de Samedi 30 mai où le journaliste fait le bilan des 50 ans de lutte pour un droit que vous refusez.
            Par contre quand il est question d’ouvrir les vannes vous déversez monsieur Mabonso: gaspillage, gauchistes et j’en oublie sûrement.
            Josselin est un lycée professionnel pas généra et donc complémentaire car il offre un autre choix public. Mais je vous pardonne votre ignorance car l’enseignement public n’est pas votre « truc »
            Allez au plaisir.

          3. M Poindessault, je suis navré d’avoir à vous dire que je m’exprimais au second degré. (j’avais compris que M Chevrier avait eu une expérience pédagogique)

            M Laufont, je sais que le lycée de Josselin est public mais il est professionnel . Justement quand vous aurez construit votre lycée GT à Ploërmel, il y aura inéquité entre Guer et Josselin. En effet Guer disposera d’un lycée GT mais pas Josselin donc vous repartirez en croisade égalitariste pour construire un lycée GT à Josselin. Ainsi le cercle de M Chevrier sera bien symétrique.

            Concernant le sondage, c’est simple: Etes vous pour ou contre le Smic à 3000 € ou Etes vous pour ou contre un lycée public à Ploërmel ou Etes vous pour ou contre la retraite à 55 ans ou…
            A question simpliste, réponse simpliste.
            Pensez vous qu’un lycée public soit souhaitable à Ploërmel alors que la collectivité continue d’investir de l’argent au lycée public GT de Guer? La réponse sera plus mitigée.
            Si Guer n’existait pas, la réponse serait plus simple ……..pour moi.

            Par contre je n’ai vraiment pas compris l’histoire des places vacantes de M Chevrier.

          4. S’agissant des places vacantes qui revient comme un argument dans la diatribe des anti(s) lycée public. Si vous pensez remplir toutes les places disponibles de toutes les filières générales et professionnelles confondues de tous les lycées existants dans le bassin, vous niez le droit aux élèves à avoir une orientation libre et souveraine. D’où mon constat sur des nouveaux secondes en Term STMG directement puisqu’il y a de la place, des 2nde Bac Pro ASSP en 1ère L… Mais ce type de raisonnement court et approximatif consiste aussi à envoyer tous les chômeurs à l’usine ou tous les élèves dans un établissement religieux. On est dans le dénie de droit et liberté. Compris ?

          5. Si, une dernière chose. La considération des places vacantes à remplir coute que coute avant la construction d’un lycée public, c’est nier aussi le fait que la vacance desdites places n’est qu’un fait conjoncturel et fluctuant d’une année à l’autre. Un lycée général n’est pas un lycée professionnel et le protocole d’orientation diffère. De même qu’un lycée privé n’est pas un lycée public et les valeurs diffèrent. Dans un lycée public, on ne réoriente pas à l’issue du 1er trimestre les secondes GT au profil fragile qui nuiraient aux chiffres globaux au profit de classes professionnelles déficitaires du réseau affilé.

          6. Merci M Chevrier, j’ai mieux saisi ainsi.
            Sachez tout de même que la DGH est revue chaque année donc en cas d’ afflux d’élèves, on peut réajuster sans souci dans tous les établissements. En cas de perte d’élèves, c’est réajusté aussi. C’est d’ailleurs pour cela que l’argument qui consiste à dire « un lycée de plus donc moins d’élève par classe » ne tient pas.
            Un établissement a une DGH pour 5 classes de seconde GT et 150 élèves. (ça fait 30 élèves par classe). L’année suivante il perd 51 élèves, il n’a plus que 3 classes et passe à 33 élèves par classe.
            Les places vacantes sont donc virtuelles et ponctuelles, les lycées existants peuvent accueillir les augmentations à venir si elles arrivent un jour.

          7. Je commence à percevoir que M.Mabonso, évoquant aisément les problématiques de DGH, doit être du sérail, en responsabilités localement, mais hélas « de la contre-allée ». Je comprends aussi du coup votre difficulté à admettre la concurrence d’un établissement public ouvert à tous là où l’Histoire et la politique « féodale » vous ont octroyé depuis des décennies un monopole d’un autre age. Il faudra, si vous êtes beau joueur, tomber le masque.
            Pour en revenir aux places vacantes, il existe un dispositif académique, encore aujourd’hui en place, qui accorde à des lycées publics la possibilité d’ouvrir des secondes à 25 élèves, ce dont je ne doute pas bénéficiera le lycée de Ploërmel. S’agissant du lycée de Josselin, les places sont contingentées puisque tributaires d’équipements techniques. Dès lors, la distribution des affectations obéit au protocole Affelnet et à la décision in fine des familles d’orienter leurs enfants sur le vœu 1 ou 2 ; D’où un phénomène parfois de places vacantes au profit de Vannes et au détriment de Josselin pour ce qui est de l’ASSP par exemple. Que voudriez-vous de force combler cette vacance par des arguments « pragmatiques » ? Un postulant à une 2nde GT n’en a cure.

  2. Avoir un lycée public à Ploërmel semble légitime mais nos élus peuvent-ils se permettre de dépenser les deniers publics sans compter ? La construction du lycée public est financée par la région mais tout le reste est à la charge de la commune qui accueille le lycée. Et la région doit faire des choix. Dans le contrat de partenariat avec l’Europe, il est indiqué que le pays de Ploërmel à dépassé les 10% de logements vacants et qu’il doit faire face à un double phénomène de vieillissement : le vieillissement de la population et celui de son patrimoine bâti (tout le contraire de l’étude TMO). Hier, le CESER à donné un avis favorable sur l’implantation d’un lycée à Liffré, mais a également déclaré que la croissance du nombre de lycéens sur Rennes dans la décennie à venir peut être significativement supérieure aux prévisions , et la construction d’un second lycée public sur le bassin rennais ne peut pas être reportée à l’horizon 2026. Alors, que faire ? Laissons à nos élus les moyens de maintenir une population jeune sur Ploermel . La construction d’un lycée n’empêchera pas la croissance de la population de Rennes, mais endettera Ploërmel au risque de freiner sa croissance. A noter également que la dotation de l’état sera de plus en plus faible pour les prochaines années. Restons modestes sur les dépenses publiques.

    1. D’accord avec M Degalle, accompagnons nos élus dans le développement de l’emploi salarié (dans le secteur marchand) à Ploërmel. Ceci engendrera naturellement le maintien et la venue d’une population jeune.
      La construction d’un lycée public n’est jamais la cause de l’arrivée de familles en nombre, ça doit être la conséquence de la venue de ces populations. (comme ça se passe à Rennes et partout ailleurs)
      Les conclusions de TMO commencent à se heurter à la réalité des chiffres, ces conclusions doivent être remises en cause.

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