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Publié le 31 janvier 2023
Ce mardi 31 janvier une manifestation presque inédite a rassemblé devant la mairie de Ploërmel, près d’un millier de participants hostiles à la réforme des retraites portée par le gouvernement. A quelques kilomètres un autre rassemblement était organisé devant le site Yves Rocher de Montertelot, menacé de fermeture d’ici 2025. Le groupe Yves Rocher confronté à des difficultés, envisage de supprimer 300 postes sous forme de départs volontaires répartis sur l’ensemble de ces entités et filiales. A Montertelot, le site Yves Rocher compte une centaine d’emplois en CDI auxquels s’ajoutent des CDD en fonction de l’activité. Ce site pourrait être purement et simplement fermé en 2025. C’est du moins ce que prévoit le plan de GEPP (gestion de l’emploi et des parcours professionnels) signé au sein du groupe il y a quelques semaines par deux syndicats représentatifs la CFTC et la CFE-CGC, qui le rend donc applicable. Une formule que dénonce la CGT, syndicat non représentatif qui s’est joint à l’appel au rassemblement lancé ce mardi matin par Force Ouvrière. Pour la CGT, le choix du GEPP, revient à signer un chèque en blanc à la direction qui, selon le syndicat « peut décider de tout ». Il estime qu’un PSE (plan de sauvegarde de l’emploi) aurait eu l’avantage de la transparence évitant le sentiment que l’entreprise cherche à écrémer ses effectifs à moindres frais.
L’opacité dans laquelle le groupe Yves Rocher prépare la mise en oeuvre de ce GEPP génère selon Pierre-Jacques Blanchard, le délégué CGT, une forte anxiété chez les salariés, renforcée par le projet de réforme des retraites qui se profile et se traduire par une sorte de double-peine. Certains salariés craignent d’en être les victimes collatérales. « On sait bien que tout le monde ne sera pas relocalisé. On a une population de salarié(e)s vieillissante. Imaginez la situation d’une femme qui aura 55 ans en 2025… », explique Pierre-Jacques Blanchard qui fait les comptes: « avec un âge de départ en retraite à 62 ans et demi, il devrait rester 40 ou 50 salariés à recaser sur le site de Montertelot. Si la réforme est adoptée, et l’âge de départ repoussé de 2 ans, ils seront beaucoup plus nombreux, que deviendront-ils? Moi, je me tracasse pour ces catégories de salarié(e)s… ».
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