
Pays de Ploërmel. Débat et ateliers: le RIC fait salle comble
Environ 250 personnes vendredi soir ont participé au débat organisé sous l’égide du mouvement « Citoyens…
Accueil / Oust à Brocéliande /
Publié le 28 mars 2024
La gestion des déchets est un sujet sensible qui suscite beaucoup d’intérêts de la part des habitants. La preuve en est l’affluence constatée mardi dernier pour les deux premières réunions publiques de l’OBC organisées à Lizio et à Saint-Abraham. Un intérêt qui s’est encore confirmé ce jeudi soir à Caro mais surtout à Missiriac. Thierry Gué, vice-président de l’OBC en charge des déchets, Luc Philippe, le directeur général de l’OBC et Morgane Séné, responsables services techniques de l’OBC, Florian Guégan, responsable du service déchets, ont donc pris leur bâton de pèlerin pour expliquer en détails ce qui va changer et répondre aux questions du public…
Nous ferons une synthèse des leçons tirées par l’OBC de ces 4 réunions publiques et des remarques qui sont remontées des citoyens.
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3 commentaires "Missiriac-Caro. Toujours beaucoup de monde aux réunions publiques sur les déchets"
Lors de cette réunion, Mr Philippe Directeur Général général OBC a avancé le principe Pollueur Payeur.
Le constat : la population subit et paye et globalement pollue peu.
Mais on oublie le pollueur : l industrie de l » emballage et du packaging.
Aucune proposition ni d action menée afin de tarir la production d emballage.
On peut constater que le bon sens est très éloigné de l’OBC voir de nos élus.
Les lobbies de l industrie de l emballage font merveilleusement bien leur travail.
La facilité prime sur le bon sens et l’efficacité.
bonjour,
il ne faut pas oublier que l’Etat a mis un impôt déguisé pour le traitement des non valorisables: 58 euros HT la tonne, s’y ajoute la TVA.
Ce n’est pas un problème spécifique à DOBC.
Par contre, je l’ai déjà écrit mais ils nous ont apporté un élément de réponse dans leur conférence de presse. La loi Agec nous autorise à laisser à la grande surface alimentaire de plus de 400 m2, les suremballages lorsque nous passons à la caisse.
Si on ose tous le faire, que l’on en parle à notre entourage, il y aura peut être un effet levier.
il pourra y avoir un changement de comportement des « pollueurs » qui produisent le sur emballage.
il falloir faire comme les artisans ..se pointer très nombreux au conseil communautaire , surtout celui ou seront votés les nombres de levées de bacs jaunes et le nombre d ouvertures des colonnes a ordures a l année , et les tarifs minimum forfaitaires et les suppléments !
le bon sens oui, le tri oui, mais pas sans vision de combien ca va couter au contribuable
chose pour laquelle c est le flou total ! hormis la certitude que ca va nous couter très cher
faire des reunions publiques sans ses parametres est un defaut de communication incompréhensible de la part d OBC