
Ploërmel. Echangeur St-Antoine : découvrez le projet d’aménagement
L’échangeur Saint-Antoine est un point noir de la circulation locale, à l’intersection entre les deux…
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Publié le 16 novembre 2018
Une trentaine de personnes assistaient à la réunion publique organisée, mercredi soir à la salle des fêtes de Ploërmel. A cette occasion, Patrick Le Diffon, maire de la ville et Jean-Claude Jumel son adjoint ainsi que les représentants des gendarmes ont présenté en détail le dispositif Participation Citoyenne que la ville a décidé de mettre en oeuvre à partir du mois de janvier.
Des citoyens volontaires et sélectionnés seront en quelque sorte des relais, chargés de signaler aux forces de l’ordre des évènements inhabituels dont ils seraient témoins dans leur quartier. C’est un dispositif encadré par la loi et qui a déjà montré son efficacité dans les villes où il est mis en oeuvre (lire en cliquant ici). La municipalité n’aura aucun mal à déployer ce dispositif dans tous les quartiers de la ville: pas moins de 8 personnes présentes à la réunion se sont portées candidates.
La soirée a été émaillée par un petit évènement puisque dans la salle, se trouvait celui qui a engagé une procédure ayant débouché sur l’annulation d’un arrêté préfectoral autorisant les caméras de vidéosurveillance. Il a quitté la salle avant la fin de la présentation.
D’ailleurs le sujet de la vidéosurveillance a été évoqué en toute fin de réunion (à partir de la 50è mn sur la vidéo).
Revivez cette réunion et écoutez les explications de la gendarmerie en vidéo.
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1 commentaire "Ploërmel. Participation citoyenne et… vidéosurveillance"
Impressionnant …
Le sous-officier supérieur fait la présentation au public en tenue d’intervention (N°32 ?) et surtout il reste bardé de tout son équipement en ceinture dont son arme … ?!?
Hallucinant.
Une tenue de ville ( type 22/23 soit vareuse, pantalon) aurait été – à mon sens – plus appropriée et surement moins agressive.
Pour le reste – sur le fond – de mon temps les gendarmes étaient au contact de la population en permanence.
Ils vivaient avec les concitoyens. Ils se fondaient dans la population et non pas enfermés dans leurs casernements et/ou dans leurs véhicule comme aujourd’hui.
Ainsi se faisait naturellement la transmission de « l’information » dans les rencontres de tous les jours. En se temps là, il n’y avait nul besoin de délégation du service ou de certaines missions dévolues Aux Gens d’Armes à des individus, nul besoin de « Participation citoyenne » porte à la future mise en place de milices.
Le gendarmerie aurait elle aujourd’hui des problèmes d’intégration avec la population ?
Autre temps, autre mœurs.
Va savoir ?