Publié le 31 août 2019
Malestroit. La faute qui choque…
Alors que la fête du Pardon des camping-cars bat son plein, un murmure d’indignation traverse Malestroit. Vous avez sans doute remarqué depuis quelques jours les grandes banderoles qui, un peu partout, indiquent le lieu de parking des camping-cars. Or, ces banderoles comportent une faute qui choque beaucoup de malestroyens. En effet, sur cette affiche, l’adresse du parking ouvert est rédigée ainsi: « Espace Maurice MeLLois, route de Ruffiac ». Or, Le nom de Maurice Mélois ne prend qu’un seul « L » et un accent. Cette faute est répétée sur des affiches différentes (voir photos ci-dessous).
On sait que Maurice Mélois, ancien maire et conseiller général de Malestroit, personnalité politique de première importance du département, décédé brutalement en 2007, a marqué de son empreinte l’histoire de la ville et que son souvenir est profondément ancré dans la population. « C’est choquant de voir cette faute en gros caractères, à la vue de tous. Cela témoigne d’un manque de respect pour la mémoire de notre ancien maire. Comment une telle erreur est-elle possible? », s’indigne un habitant.
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5 commentaires "Malestroit. La faute qui choque…"
C’est certainement pas une entreprise locale qui a fait cette faute ! Un peu dommage alors qu’il y a une société qui fait des banderoles a Malestroit, rue de la gare ! Surtout pour un évènement malestroyen…
Je suis responsable des Amis de st Gilles qui ont commandé ces banderoles et j’assume donc la responsabilité de cette faute involontaire. Je m’en excuse auprès de la famille Mélois.
La personne qui a pris le temps de contacter la rédaction des infos du pays gallo aurait pu également nous contacter, nous aurions rectifié immédiatement… C’est dommage.
Que les choses soient claires: il n’y a pas eu « une personne » qui a contacté les Infos du Pays Gallo. Pour être le plus précis possible, j’ai été interpellé par plusieurs malestroyens, en arrivant à Malestroit samedi en fin de matinée, qui nous ont signalé cette erreur, en manifestant leur indignation. Trop tard pour changer quelque chose: les banderoles étaient déjà déployées depuis longtemps et le Pardon commençait. La multiplication de ces témoignages montre une réelle émotion, compréhensible compte-tenu de la personnalité dont il s’agit. On n’est pas là dans le registre de la faute d’orthographe, mais dans l’émotionnel… La preuve, cet article a été vu près de 7000 fois depuis sa mise en ligne
Monsieur le curé je suis attristé de constater que vous ne faites pas travailler les artisans locaux alors nous avons une entreprise de banderoles sur malestroit…
Bien vu … Et pan sur le bec.
Tiens, tiens ? ….. l’église fait du business ?
C’est vrai que dans le coin on a eut l’Abbé Gillard, en quelque sorte un précurseur.
On ne nous dit pas tout
Pourvou qu’ça dourre
Netcordi@lement
A.Hopennerf